
J’AI PERDU MON CORPS - 06.02.2023
Réalisation Jérémy Clapin
Casting voix Hakim Faris, Victoire Du Bois, Patrick d’Assumçao
2019, Animation - 1h21 • VO FR
SYNOPSIS
A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire...
CRITIQUES
Une histoire incroyable, extraordinaire, fantastique, comme on rêverait que le cinéma d’animation en fasse souvent : avec une infinie tendresse et délicatesse, avec une immense conséquence et intelligence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Travaillé à l'os, ce premier film frôle la perfection.
L'Ecran Fantastique
Virtuose et sensible : un film d’animation étonnant.
Le Dauphiné Libéré
Jérémy Clapin signe un superbe long-métrage, qui fait se rencontrer, avec une remarquable fluidité, le fantastique et la chronique réaliste.
Le Figaro
Jérémie Clapin aborde précisément sa charpente narrative avec une minutie artisanale, qui contribue à éloigner encore un peu plus "J'ai perdu mon corps" du tout-venant de l'animation contemporaine, et à l'imposer au-delà de son format comme une oeuvre essentielle des années 2010.
Mad Movies
Cadrages savants et poursuites frénétiques au ras du sol dans les rues de Paris alternent avec des moments de pur onirisme ou d’une grande douceur, sur la solitude et le passage à la maturité. Une fois de plus, on oublie la technique pour saluer la naissance d’un cinéaste de talent.
Positif
C’est bien simple : on n’a pas vu une mise en scène aussi racée dans le cinéma français depuis Jacques Audiard. À l’instar des films d’animation japonais pour adultes, J’ai perdu mon corps place la barre très haut à tous les niveaux.
Première
Une pépite d'animation, emplie d'espoir et d'une sensibilité inouïe.
Télé Loisirs
Un thriller animé virtuose et saisissant, plein de drôlerie et de poésie.
Télérama